Vrac!

Junichirô · 21 août 2017, 19:36

marcastro a écrit : 21 août 2017, 19:00

L'esclavage n'a jamais été pratiqué dans les colonies anglaises ou française,

Moi pas comprendre?

Au cas où tu voudrais jouer sur les mots

2. Territoire situé hors d'Europe et conquis entre le XVe siècle et le début du XXe par une puissance européenne, qui y installait ses ressortissants pour l'administrer, l'exploiter économiquement et le contrôler militairement. Les anciennes colonies espagnoles et portugaises d'Amérique du Sud. Les colonies britanniques. Le Canada fut une des premières colonies françaises. Les colonies françaises d'Afrique. Le gouverneur d'une colonie. Le mouvement d'indépendance des colonies, après la Seconde Guerre mondiale. L'accession d'une colonie à l'indépendance. • Spécialt. Colonie de peuplement, où s'installaient en nombre des colons originaires de la métropole. Colonie d'exploitation, où l'on mettait en valeur les ressources agricoles et minières. Colonie de plantation, qui faisait appel à une main-d'œuvre étrangère, souvent amenée de force. • Expr. Vivre à la colonie, ou, plus souvent, aux colonies, dans un pays colonial ou, plus généralement, dans un pays chaud. Partir pour les colonies.

Source: http://www.cnrtl.fr/definition/academie9/colonie

marcastro · 21 août 2017, 19:54

il le fut dans les Antilles; c'est vrai que j'ai écris un peu trop vite ayant en tête l'abolition, mais si il y eut abolition alors il y eut pratique de la chose. Je reconnais avoir pris un raccourci un peu abrupt.

Junichirô · 21 août 2017, 19:57

21 août 2017, 20:37

Il vous plaît mon sujet "vrac"... c’est bien.

Il est de mon point de vue plus important de s’intéresser à l’esclavage moderne. L’histoire est écrite on peut en débattre autant qu’on veut ça ne libérera personne...
Asie et Afrique en sont les tristes champions.

http://www.rfi.fr/asie-pacifique/201606 ... foundation

marcastro · 21 août 2017, 21:20

Junichirô a écrit : 21 août 2017, 19:57OK!

dire des conneries c'est pas grave, l'essentiel c'est de le reconnaître quand on en dit :194:

Junichirô · 21 août 2017, 21:26

lol a écrit : 21 août 2017, 20:37 Il vous plaît mon sujet "vrac"... c’est bien.

Il est de mon point de vue plus important de s’intéresser à l’esclavage moderne. L’histoire est écrite on peut en débattre autant qu’on veut ça ne libérera personne...
Asie et Afrique en sont les tristes champions.

http://www.rfi.fr/asie-pacifique/201606 ... foundation

Celui qui ne connaît pas l'histoire est condamné à la revivre. (Karl Marx)

marcastro · 21 août 2017, 21:29

tenez en voilà une autre que je soumet à la sagacité de votre réflexion:

https://revue-progressistes.org/2016/04 ... ossible-2/

la connerie n'a plus de limite dans ce monde de dénégation de tout, me souviens de mes années potaches et des discussions enragées et véhémentes tenues par les maos sur "" la science bourgeoise et capitaliste "" ce qui me fit bien rigoler à l'époque. Plus gênant fut la tentation du physicien Jean-Marc Lévy-Leblond qui donna un temps de ce genre de truc mais sut vite se reprendre.

21 août 2017, 22:04

Junichirô a écrit : 21 août 2017, 21:26 Celui qui ne connaît pas l'histoire est condamné à la revivre. (Karl Marx)

Qui cesse d'agir aujourd’hui sera oublié demain, le présent ne se soucie pas du passé.

gfroid · 21 août 2017, 22:27

Si on veux, on peut dire que l'esclavage en tant que systeme economique n'a jamais été abolie, que c'est seulement le modes de production qui a changé passant du servage propre à l'aristocratie au capitalisme avec l'avènement de la bourgeoisie et qu'aujourd'hui on est dans un syteme d'esclavage salarié. Que le servage fut une étape historique nécessaire à l'avenement du capitalisme(accumulation primitive) et qu'elle est donc partie constituante de son histoire. et non une choses séparé.

Junichirô · 21 août 2017, 22:59

lol a écrit : 21 août 2017, 22:04
Qui cesse d'agir aujourd’hui sera oublié demain, le présent ne se soucie pas du passé.

Contradictoire car quand on sera demain qui sera donc présent on sera l'aboutissement de nos agissements passés (agissements d'aujourd'hui). C'est parce qu'il y a eu des actions passées qu'on s'en souvient aujourd'hui; la société actuelle est le résultat de l'histoire. Evidemment s'il ne s'était rien passé, ce serait oublié. Même si le présent ne veut pas se soucier du passé il est quand même là.

marcastro · 21 août 2017, 23:09

Contradictoire car quand on sera demain qui sera donc présent on sera l'aboutissement de nos agissements passés (agissements d'aujourd'hui)

sauf à atteindre la Claire Lumière pour rompre l'enchaînement des causes et des effets....... :191:

Junichirô · 21 août 2017, 23:13

marcastro a écrit : 21 août 2017, 23:09 sauf à atteindre la Claire Lumière pour rompre l'enchaînement des causes et des effets.......

L'éveil et le samsara?
Tiens, je viens d'assister à une éclipse solaire à 80%.

gfroid · 21 août 2017, 23:18

faut autant ce soucier du présent que du passé que du futur.

marcastro · 21 août 2017, 23:34

gfroid a écrit : 21 août 2017, 23:18 faut autant ce soucier du présent que du passé que du futur.

pour le passé nous ne pouvons plus le modifier;il est ce qu'il est nous devons l'assumer;mais nous pouvons vivre pleinement le présent qui est bien la seule chose qui compte et qui soit importante et sur lequel nous pouvons agir; quand au futur il se fond dans une succession ininterrompue de présents et n'a donc pas d'existence en dehors du présent.

gfroid · 21 août 2017, 23:43

marcastro a écrit : 21 août 2017, 23:34 pour le passé nous ne pouvons plus le modifier;il est ce qu'il est nous devons l'assumer;mais nous pouvons vivre pleinement le présent qui est bien la seule chose qui compte et qui soit importante et sur lequel nous pouvons agir; quand au futur il se fond dans une succession ininterrompue de présents et n'a donc pas d'existence en dehors du présent.

ouais mais pour affronter le présent et appréhender le future faut prendre le passé en compte. Faudrais pas tomber dans la tyranie du présent, non plus

marcastro · 21 août 2017, 23:48

prendre le passé en compte.

càd l'assumer et l'accepter pour tel; je dis ça parce que actuellement c'est très à la mode de se ""repentir"" et de s"autoflageller pour le passé; personnel ou historique.

gfroid · 22 août 2017, 00:13

marcastro a écrit : 21 août 2017, 23:48
prendre le passé en compte.
càd l'assumer et l'accepter pour tel; je dis ça parce que actuellement c'est très à la mode de se ""repentir"" et de s"autoflageller pour le passé; personnel ou historique.

Je sais pas qui s'autoflagèle avec le passer mais accepter le passer et l'assumer c'est aussi prendre la responsabilité qui en incombe avoir de l'auto-crititique savoir remettre certain chose en question et pas juste dire ouais mais maintenant on y peux rien c'est passer ferme la pis avance! Parce que c'est pas juste le passé c'est notre histoire et ça peut avoir un impact significatif sur le présent et le futur. Mais, je comprends aussi ce que tu veux dire, y en aura toujours pour exagérer se victimiser ou se culpabiliser sois même ou les autres. Comme y en aura toujour pour faire l'autruche.

Junichirô · 22 août 2017, 00:35

marcastro a écrit : 21 août 2017, 23:34 ...mais nous pouvons vivre pleinement le présent qui est bien la seule chose qui compte et qui soit importante et sur lequel nous pouvons agir; quand au futur il se fond dans une succession ininterrompue de présents et n'a donc pas d'existence en dehors du présent.

carpe diem, quam minimum credula postero.
Mais attention à ne pas confondre épicurisme et hédonisme.

gfroid · 22 août 2017, 01:01

Quelqu'un qui vit dans le présent sans connaitre le passé c'est un ignare qui est bon à rien un incapable un déchets de l'histoire. regarder autour de vous soudain ce profil des ombres éphémere sur la ville. j'ai toujour considérer que c'était un des gros problème du marxisme aujourdhui le fait que tout lmonde semble de plus en plus abruti et que cette doctrine soit basé sur la conscience des uns et des autres. Comment tu veux interperller du monde qui ont aucun sens historique et comment tu peux aller de l'avant avec du monde comme ça. c'est bien je crois tout le malheur du communisme et du pourquoi la révolution russe à viré en en régime totalitaire.Lénine à jamais accepter la décision du peuple d'avoir voter pour les menchéviks.

....mais bon j'dit n'importe quoi là :191:

Grhim · 22 août 2017, 01:37

gfroid a écrit : 22 août 2017, 00:13
marcastro a écrit : 21 août 2017, 23:48
prendre le passé en compte.
càd l'assumer et l'accepter pour tel; je dis ça parce que actuellement c'est très à la mode de se ""repentir"" et de s"autoflageller pour le passé; personnel ou historique.
Je sais pas qui s'autoflagèle avec le passer mais accepter le passer et l'assumer c'est aussi prendre la responsabilité qui en incombe avoir de l'auto-crititique savoir remettre certain chose en question et pas juste dire ouais mais maintenant on y peux rien c'est passer ferme la pis avance! Parce que c'est pas juste le passé c'est notre histoire et ça peut avoir un impact significatif sur le présent et le futur. Mais, je comprends aussi ce que tu veux dire, y en aura toujours pour exagérer se victimiser ou se culpabiliser sois même ou les autres. Comme y en aura toujour pour faire l'autruche.

...deux moines marchaient côte à côte le long d’une route boueuse lorsqu’ils arrivèrent devant une immense flaque d’eau qui barrait complètement la route. Ils trouvèrent là une très belle femme vêtue d’une robe ravissante, incapable d’aller plus loin sans maculer ses vêtements.

Sans l’ombre d’une hésitation, l’un des deux moines prit la dame dans ses bras, traversa la flaque, la déposa délicatement de l’autre côté, et reprit son chemin. Quelques heures plus tard, alors qu’ils installaient leur camp pour la nuit, le second moine se retourna vers le premier et lui dit :

« Je ne peux vraiment plus garder cela pour moi, je suis très fâché contre toi ! nous sommes supposés ne pas regarder les femmes, surtout lorsqu’elles sont jolies, et encore moins les toucher. Pourquoi as-tu fait cela ? » Le premier moine lui répondit : « Frère, j’ai laissé cette dame auprès de la flaque, pourquoi la portes-tu encore ? »