lol a écrit : 15 janv. 2020, 07:11
T'es un peu gonflé...
Fondé sur mon observation je peux affirmer n'importe quoi.dezix a écrit : 14 janv. 2020, 11:16 Une classe dirigeante d'inactifs (ne produisant aucun travail effectif - ou si peu) prônant les vertus du travail (des autres).
Y compris que la classe dirigeante est composée de pauvres enrichis et que ce sont, au final, les même enculés...
Bien sur chacun sa lorgnette mais ça c'est un problème général des sciences.
Tu ne vois pas un asticot comme le voit un poisson rouge,
ni par tes capteurs (yeux) ni par l'interprétation mentale (image/sensations produites)
c'est certain,
ce qui ne remet pas en cause la nature ou l'existence de la bestiole.
Tu discutes les faibles moyens de présentation de l'argument (je te l'accorde)
mais rien sur l'argument ce qui est tout de même (à mon sens) plus intéressant ici que la méthode.
Mais bien sur , il ne peut en être autrement,la classe dirigeante est composée de pauvres enrichis et que ce sont, au final, les même enculés...
car si on rembobine le film (Homo Sapiens Story)
on arrive forcément à un moment où il n'y a aucune propriété privée
puisque c'est une invention humaine
et pas un fait réel contrairement à l'usage ;-)
Ensuite, le fait de posséder consolide la sédentarisation (qui la induite).
La sédentarisation induit à son tour une perte de connaissance du milieu => passage d'homme des bois ou des steppes à homme des champs puis des cités.
Ce qui génère d'abord la peur du milieu dont il faut se préserver.
La propriété génère la peur de l'autre (se faire voler).
À ce stade le règne de la peur (collective) et de la violence a le champ libre,
et ça dure depuis 10.000 ans (à la louche) sur 100 à 200.000 pour la bobine complète.
Du coup ni riches ni pauvres pendant 90% du film,
comme quoi un monde différent peut (a) exister, le quel ???... peu importe !
Voilà c'est ma vision du monde et je prends un peu la peine de l'argumenter.