"La dure vérité sur les cultures innovantes"

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dezix
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Kernel Planet

Le 29 janvier 2019
Source : http://planet.kernel.org/
Paul E. Mc Kenney : Examen de l'article : "La dure vérité sur les cultures innovantes"

L'innovation a fait couler beaucoup d'encre au cours des dernières décennies, mais cet article du Harvard Business Review est le premier qui correspond vraiment à mon expérience.
Le point principal de cet article est que beaucoup d'écrits antérieurs ont mis l'accent sur les aspects amusants de l'innovation et soulignent certains travaux supplémentaires qui sont absolument nécessaires pour une innovation significative.

Les auteurs proposent cinq maximes, dont chacune est discutée ci-dessous.

Tolérance pour l'échec mais aucune tolérance pour l'incompétence.
Cette maxime est celle qui me semble la plus vraie : Les progrès de l'innovation sont souvent mesurés en erreurs par heure, mais les erreurs doivent être des erreurs productives qui éliminent des catégories de solutions potentielles ou qui correspondent mieux à une solution utile. Et d'après mon expérience, une compétence extrême est nécessaire pour faire les bonnes erreurs, c'est-à-dire les erreurs qui généreront l'expérience nécessaire pour arriver finalement à une solution viable.

Cependant, cette maxime est aussi celle qui me met le plus mal à l'aise. L'inconfort vient du choix du mot "incompétence". Après tout, qu'est-ce que l'incompétence ? L'ancienne triade apprenti / compagnon / maître est un guide utile. On s'attend à ce qu'un apprenti fasse un travail utile s'il est supervisé par un compagnon ou un maître. On s'attend à ce qu'un compagnon soit capable d'accomplir un large éventail de tâches sans être guidé. On s'attend à ce qu'un maître soit en mesure d'étendre l'état de l'art au besoin pour accomplir la tâche qui lui est confiée. De toute évidence, il existe un large fossé entre la définition de l'"incompétence" appropriée pour un apprenti, d'une part, et un maître, d'autre part. Le niveau de compétence requis pour ce genre de travail n'est pas fonction de l'éducation, des certifications ou de l'ancienneté, mais plutôt d'un large éventail de compétences et d'expériences approfondies combinées à une volonté d'apprendre les choses à la dure, avec une tolérance pour la confusion et le désordre qui accompagnent habituellement l'innovation. Bref, le succès de l'innovation exige que l'équipe soit composée d'un bon nombre de maîtres.

Par ailleurs, "Tolérance de l'échec mais pas de tolérance de la non maîtrise" ne sort pas de l'ordinaire, et en plus, les grands projets auraient une grande place pour les apprentis et les compagnons, quel que soit le niveau d'innovation. Et en fait, les équipes composées uniquement de maîtres ont tendance à être assez petites[PDF, payant, désolé !]. Je n'ai donc aucune suggestion d'amélioration. Et si l'on met de côté les chicanes de formulation, cette maxime me semble être de loin la plus importante des cinq.

Volonté d'expérimentation mais grande discipline.
Bien qu'il soit vrai que parfois la seule façon d'avancer est une marche au hasard, il est toujours d'une importance critique de tenir un registre précis des expériences et de leurs résultats. Il arrive souvent que l'échec complet et total de la semaine dernière s'avère contenir les germes de l'étape de cette semaine vers le succès, et parfois des modèles dans un morcellement déprimant d'échecs indiquent le chemin vers le succès éventuel. L'article souligne également l'excellent point selon lequel le test de stress des idées dès le début évite d'investir trop dans les inévitables impasses.

Psychologiquement sûr mais brutalement franc.

Nous tombons tous amoureux de nos idées, c'est pourquoi nous avons tous besoin à l'occasion d'un feedback "franc et ouvert". À tout le moins, nous devrions concevoir nos expériences (ou, dans les logiciels, nos suites de validation) pour fournir cette rétroaction.

Collaboration mais avec responsabilité individuelle.
L'innovation exige souvent que les individus et les équipes fassent fi de la sagesse commune, mais la sagesse commune l'emporte souvent. Par conséquent, ces personnes et ces équipes doivent demeurer ouvertes à la rétroaction, et la responsabilisation est un bon moyen de les aider à obtenir de la rétroaction et à prendre cette rétroaction au sérieux.

Leadership plat mais fort.
La plupart de mes innovations ont été réalisées par de très petites équipes, donc cette maxime n'a pas été un problème pour moi. Mais les personnes souhaitant créer des équipes importantes mais très innovantes feraient bien de lire très attentivement cette partie de l'article.

Bref, c'est un excellent article et, à ma connaissance, le premier qui présente à la fois le côté amusant et le côté travailleur du processus d'innovation. Fortement recommandé !

29 janvier 2019 18h43
James Morris : Réservez les dates ! Événements du Sommet sur la sécurité Linux pour 2019.

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