Mon historique
Donc, en juillet dernier, j’ai remplacé mon laptop de 2010 par un Intel NUC 11 Pro NUC11TNHi50002 agrémenté de 16 Go de RAM et d’un SSD M.2 de 250 Go.
Une bonne config qui m’a donné envie de lâcher Ubuntu qui commençait à m’énerver sérieusement avec Wayland et les snaps pour Debian que j’ai donc directement installé en version 12 qui venait de sortir.
Tant qu’à avoir une installation propre, je n’ai même pas récupéré mon /home, seulement les dossiers de données personnelles indispensables, même pas les config, rien, from scratch.
Ça marche nickel… sauf que j’ai déjà eu 3 freezes depuis, de manière totalement aléatoire.
Mon problème
Là, l’affichage se fige sur les 2 écrans, je peux déplacer le curseur de la souris, mais rien ne semble répondre, le clavier non plus.
Le bouton de démarrage de la façade ne donne rien non plus.
Au final, je dois… couper l’alimentation électrique du NUC et je n’aime pas ça du tout.

Au redémarrage, ça chouine que je dois aller dans le bios pour remettre le boot d’équerre, mais tout est ok, il n’y a rien à changer.
Le dernier freeze d’hier (ou plutôt l’extinction dégueue du système) a manifestement flingué l’accès à 4 ports USB de mon hub TP-Link et je ne vois pas le rapport avec la choucroute.
Détail intéressant, hier, j’avais réussi à basculer en mode console (probablement avec un ctrl + alt + F2 ou 3, je ne sais plus), mais je n’ai pas compris ce qu’il voulait comme login… (il voulait « root », hein, c’est ça ?). Donc pas réussi à sortir proprement.
Ma demande
Dans l’absolu, j’aimerai comprendre et résoudre ce problème.
Mais déjà, j’aimerais bien une méthode pour basculer en mode console, avec des commandes pour sortir proprement de ce merdier et éteindre le bousin avec élégance et non sauvagerie.

Sinon, je pense au fait que j’ai laissé le système faire le partitionnement par défaut avec une partoche pour tmp et que ça a chouiné une fois (hors des 3 freezes) sur une opération de conversion audio qui avait saturé l’espace dédié aux fichiers temporaires. Je ne sais pas si ça a quelque chose à voir.
Voilà la littérature.
Merci à ceux qui ont tenu jusqu’au bout.
