Bonjour à toustes !
J’ouvre ce soir une discussion, comme je souhaitais le faire depuis longtemps, dans le but de partager notre parcours avec Linux et comment celui-ci nous a mené jusqu’à Debian.
Je souhaite donc vous raconter mon parcours dans le monde de l’informatique m’ayant conduit jusqu’à Debian.
Né au début des années 2000, j’ai grandi entouré d’ordinateurs sous XP, de Blackberry avec leurs claviers azerty et d’autres appareils révolutionnaires pour l’époque. Je m’amusais à faire des montages sur PhotoFiltre, jouer à SimCity 3000, explorer la Terre avec Google Earth, et à surfer sur le net avec Bayam (un super logiciel propriétaire, nan vraiment, c’était génial, j’adorais !!).
Mais un beau jour, alors que le nouvel ordinateur familial venait d’être installé, je découvrais Ubuntu 12.04. Je ne connaissais pas. C’était mon premier contact avec GNU/Linux. J’ai cherché à installer PhotoFiltre : ce logiciel n’était que disponible pour Windows. J’ai donc essayé de jouer à SimCity : c’était le même problème. Alors j’ai essayé d’installer Google Earth, je découvris avec joie que je pouvais le télécharger pour Ubuntu, avant d’échouer à l’installer, sans savoir comment faire…
Bref, c’était tout vu : Ubuntu, Linux, tout ça, je n’aimais pas.
Mais bon, il n’y avait que ça comme ordinateur à la maison, alors j’ai quand même passé des heures entières à me balader dans Unity, la Logithèque, les paramètres, à trifouiller, bidouiller, tritouiller ma machine. Je découvris Tux Paint. Ça j’aimais bien. Mais ça ne changeait rien : Ubuntu, Linux, tout ça, je n’aimais pas.
Alors c’est tout naturellement que – lorsque je fus assez grand, au milieu des années 2010, pour avoir mon propre ordinateur, je demandai à avoir Windows XP, puis Windows 7 dedans. Et je pus alors de nouveau faire des montages PhotoFiltre, jouer à SimCity, explorer la Google Terre, me lancer dans le montage avec des logiciels propriétaires – bien entendu, il en va de soi – à la licence achetée tout à fait légalement avec mon confortable salaire de collégien.
Mais, un weekend durant lequel je devais m’ennuyer beaucoup, je me rappelai d’Ubuntu, ce truc bizarre différent de tout et sur lequel on pouvait rien faire de normal. Et si je m’amusais à l’installer, juste pour m’en amuser, pour me moquer un peu ?
C’est ce que je fis en installant la version 16.04 d’Ubuntu sur mon ordinateur. Et je dois dire que je ne me souviens que d’une seule chose : j’étais totalement émerveillé. C’était comme entrer au pays des merveilles. Je me rendais compte que la veille de mon ordinateur était bien mieux gérée sous Ubuntu, que je pouvais installer des logiciels en un clic depuis une logithèque, que mon ordinateur était comme neuf. C'est durant cette période aussi que je découvris les bases du terminal, qui ne me servait auparavent qu'à jouer au hacker comme dans Wargames.
J’adoptais alors Ubuntu comme mon système principal, et eu même l’occasion de vivre la mise à niveau vers la version 18.04… Et là, il faut vous imaginer que moi, qui n’avais jusqu’ici connu que le frutiger aero de Windows XP et Windows 7 – qui commençait à faire franchement vieillot – je découvris un bureau GNOME (je ne savais pas encore ce que c’était), à l’interface moderne. C’était tellement moderne et clean comparé à ma vieille version de Windows dépassée que c’était pour comme si j’avais un mac (je trouvais ça stylé, à l’époque, d’avoir un mac... et je n'étais pas le seul à vouloir maquiller son Ubuntu en mac).
Toujours est-il que je découvrais petit à petit le monde de GNU/Linux et ce… jusqu’à… ce qu’on m’offre… un mac !!!!
Il était pas tout récent, mais tellement plus puissant. Et j’ai donc migré vers le merveilleux monde d’Apple, macOS et bientôt iOS qui me permettait de facilement synchroniser mes playlists iTunes avec mon téléphone (fonctionnalité dont j'avais grandement besoin).
J’étais content, mais assez rapidement, avec le Covid et le confinement, alors que de nouveau je devais avoir du temps à ne plus savoir qu’en faire, je me suis réintéressé à GNU/Linux, car j’avais été sensibilisé à la toute puissance des GAFAM et du danger que cela représente. J’ai donc cherché à m’en libérer, notamment Google à qui je confiais sereinement toutes mes données. Je remplaçai alors le plus de logiciels que j’utilisai par des logiciels libres et open source, mais… il restait mon système d’exploitation. J’ai donc installé Ubuntu sur mon mac, mais je dois dire qu’il ne s’entendait pas vraiment avec Ubuntu. Je vous passe les détails, mais c’était à moitié utilisable et je voulais une installation stable et fonctionnelle.
J’ai donc décidé de rester sur macOS aussi longtemps que mon Mac serait supporté. Je m’amusais alors à tester tout un tas de distributions, c’est à ce moment que je découvris Debian. Mes premières impressions furent de trouver le site web bien vieillot, l’installateur assez austère et les paquets un peu anciens.
Mais coup de chance ! Apple étant une entreprise à but lucratif, continuer à supporter du matériel ancien n’était pas ce qui les intéressait. Et c’est ainsi qu’au bout d’un an, mon Mac allait perdre son support officiel.
C’était l’occasion, c’était décidé : il me fallait faire le grand saut. Enfin utiliser GNU/Linux au quotidien. J’ai donc économisé, travaillé çà et là pour me payer un nouvel ordinateur, tout beau, tout neuf. C’est sur Fedora 34, puis 35 que se porta mon choix, c’était sympathique, mais je remarquai au bout de quelques mois que j’étais trop habitué aux distributions de la famille Debian/Ubuntu, et je décidai donc de revenir aux sources – enfin, à mes sources – et d’installer Ubuntu. Et ce fut donc la version 21.10 que je choisis, avant de rapidement la mettre à niveau vers la version 22.04 d’Ubuntu. Ouaww, c’était beau, c’était pratique, c’était cool.
Mais il m’arrivait, parfois, de lire un article, un commentaire, un avis, de personnes en colères contre Canonical, les snaps, telle décision, la perte de stabilité. J’étais tenté par Debian, le système d’exploitation universel, plus en phase avec les valeurs du logiciel libre, plus communautaire et démocratique. Mais la version stable était alors Bullseye, et j’avais besoin de GNOME 40x et de pilotes non-libres pour ma carte réseau et surtout la flemme de switcher de nouveau. Je restais donc sur Ubuntu et continuais mon chemin ainsi… Jusqu’à…
Jusqu’à ce que je casse mon installation ! Plus précisément ma connexion Wifi par une mauvaise manipulation avec mon client VPN propriétaire. C’était vraiment tout cassé. Je devais donc repartir sur une réinstallation complète. Et c’est alors que la petite voix dans ma tête – celle-là même qui m’avait poussé à refuser l’aliénation des GAFAM et qui me poussait à faire encore un pas de plus vers le libre, cette petite voix – m’encourageait maintenant à remonter à la source et donc à installer Debian. Cela faisait maintenant 6 mois que Debian 12 avait été publié. Tous les besoins de bases pour mon système étaient remplis par Debian : GNOME 43 et ses profils de batterie, Wayland et Pipewire, et surtout le support de ma carte Wifi grâce à la nouvelle politique sur les non-free-firmware qui étaient auparavant une barrière. L’idée d’aller à la source des distributions basées sur Debian et Ubuntu, de rejoindre cette vieille bonne distribution à la longue histoire, me tentait beaucoup. Tout était prêt.
J’ai donc fait le switch. J’ai installé Debian. Et je m’y suis tout de suite senti comme chez moi.
Ça fait plus d’un an maintenant que j’utilise Debian au quotidien sur ma machine principale.
Bien sûr il peut toujours y avoir de l’imprévu, comme une décision majeure de changement de cap avec des conséquences non-négligeables avec laquelle on n’est pas d’accord et qui nécessiterait de changer de navire. En somme il ne faut jamais dire jamais, mais je ressens l’envie, le plaisir même, de m’installer durablement chez Debian (pour ne pas dire définitivement), tout en gardant Ubuntu comme système secondaire sur mon vieux mac de 2012 qui pour l'instant est remis à neuf grâce à Linux! Debian en tant que système principal et Ubuntu en tant que système secondaire me convient parfaitement. Pour tout vous dire, je n'utilise mon système secondaire que quelques jours par an, alors que j'utilise mon ordinateur principal sous Debian quotidiennement, mais je me sens affectivement lié à Ubuntu en tant que distribution par laquelle j'ai découvert le monde de GNU/Linux et des logiciels libres.
Je m’amuse encore à tester de temps en temps d’autres distributions en machines virtuelles ou sur mes machines secondaires. Mais je sens bien que cela n’est plus qu’un petit amusement. Je n’ai plus tellement envie de bidouiller comme je le faisais, je n’ai plus le temps. J’ai besoin d’un système stable, performant, fonctionnel. Sur lequel je puisse compter. Debian remplit selon moi toutes ces conditions.
Et puis quand bien même je me lasserais un jour de mon environnement de bureau favori, GNOME, je pourrais toujours rester sur Debian et simplement en choisir un autre. Toutes les distributions ne le permettent pas, ou en tout cas pas si facilement.
Je vois aujourd’hui avec tristesse la direction que prend Ubuntu avec sa dernière version LTS, 24.04 : encore un peu plus de forçage de snaps (avec la recherche dans la logithèque cherchant par défaut dans les snaps uniquement), des applications instables out-of-the box (je pense notamment à la fonctionnalité de Gnome Web qui permet de transformer des sites web en applications qui ne marche pas en raison d’une décision concernant Apparmor), l’intégration de flutter (avons-nous besoin dans le monde GNU/Linux d’une nouvelle bibliothèque, d’une nouvelle identité visuelle pour nos applications à interface graphique qui plus est proposée par Google ?) et j’en passe.
Je continue à installer Ubuntu sur les ordinateurs de mes proches que j’arrive à accompagner dans leur libération des GAFAM, car la seule chose qui me retiens de leur installer Debian est la modification de sources.list qui est à réaliser lors de chaque mise à niveau, là où Ubuntu propose un outil graphique (la modification manuelle des sources ne me dérange pas, mais je souhaite que mes proches puissent maintenir au maximum leur système en autonomie et toucher à sources.list n’est pas chose aisée et souhaitée de leur côté. C’est pour l’instant pour elleux le compromis entre liberté et simplicité. Compromis que j’ai moi-même trouvé avec Debian.
Pour ma part je me sens vraiment libéré de la féodalité des logiciels propriétaires (un article, un podcast, un livre), libre avec Debian dans mes pratiques cyber. La prochaine étape sera la contribution : je n’en ai pas le temps pour l’instant dans ma vie actuelle, mais je veux vraiment d’ici quelques années contribuer au projet. Peut-être d’abord dans la traduction ou dans la documentation, et pourquoi pas un jour comme mainteneur d’un petit paquet simple, même si pour l’instant c’est hors de ma portée et que ça me fait un peu peur.
D’autant plus que je porte un grand intérêt pour les systèmes démocratiques, notamment la démocratie directe ; la pratique de la démocratie au sein du projet m’intéresse donc grandement, dans la prolongation des valeurs émancipatrices du logiciel libre.
Merci à toi qui m’as lu jusqu’ici ! Sentez-vous libre de partager votre propre parcours avec GNU/Linux et comment celui-ci vous a mené à Debian. J'ouvrirai également prochainement une autre discussion dans le but de partager plus précisément les raisons pour lesquelles nous avons choisi Debian et ce que nous apprécions dans l'histoire et la philosophie (ou la politique, dans les deux cas au sens large) de cette distribution.
L’ordinateur familial autrefois sur Ubuntu est aujourd’hui parti à la casse.
Mon vieil ordinateur qui avait fait le passage de Windows XP à 7 à Ubuntu est aujourd’hui sous Debian 11, mais il repose tranquillement dans sa sacoche. Je ne l’ai pas ouvert depuis longtemps.
Mon vieux mac est maintenant sur Ubuntu 24.10, il marche tellement mieux sous Linux que sous macOS, et ça me permet de tester les versions les plus récentes de mes logiciels.
Mon ordinateur principal, fruit de mon long cheminement vers un monde cyber libre et éthique, tourne vaillamment chaque jour avec Debian 12. Et ce n’est pas près de changer !
J’attends impatiemment le passage de trixie en stable.
Notre parcours avec Linux et comment celui-ci nous a mené jusqu’à Debian
- piratebab
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Merci pour ce partage.
Pour ma part, j'ai démarré a l'école sur des terminaux reliés à un mainframe (les vieux trucs pas graphique ,avec du texte vert ), avec une imprimante à aiguilles au sous sol ....
Pendant un stage, on avait un MAC (le gros truc cubique, un machintosh je crois). C'était révolutionnaire pour moi !
Lorsque j'ai intégré la service R&D d'une grosse boite, j'ai retrouvé le terminal et le main frame, et on lançait les calculs la nuit en mode batch. Si tu avais fait une erreur, il fallait attendre la nuit suivante pour relancer le calcul.
Mes collègues trouvaient ça super moderne, ils venaient tout juste d'abandonner les cartes perforées ...
Ensuite un a reçu des consoles SUN sous unix. C'était graphique et en couleur!
A coté de ça , un collègue informaticien à reçu le premier ordinateur personnel du service, sous DOS ..... Par rapport à UNIX, ça faisait viellot.
Ce n'est que bien plus tard que j'ai acheté mon premier ordi, sosu windows. Internet venait d'arriver, je voulait regarder ça de plus pret (c'est interdit au boulot!)
J'ai bien évidement commencé à vouloir comprendre ce qu'il y avait sous le capot, et pourquoi j'avais parfois une multitude de fenêtres popup qui me pourrissaient mon écran. et aussi comment virer toutes ces barres d'outils qui occupaient la moitié de l'écran du navigateur.
J'ai découvert le site assiste.com (qui existe toujours), et découvert le monde souterrain des virus, spam, et autres malwares. Ainsi que toutes les informations qui étaient collectées sur moi. J'ai fait un gros ménage dans mon windows! Mais ça ne me convenanit que moyenement, toujours devoir faire attention, installe plusieurs logiciels de surveillance, un parefeu ....
J'ai donc remplacé tous les logiciels propriétaires par des logiciels libre s(firefox, thunderbird, mplayer, libre office, the gimp).
au final, il n'y avait plus que le système d'exploitation qui n'était pas libre.
J'ai installé une mandrake un peu par hazard en dual boot, car elle proposait le bureau KDE. Comme ça je n'était pas trop dépaysé avec l'environnement windows du bureau.
au bout de quelques mois, windows n'étant plus utilisé, il a dégagé.
J'avais commencé à me monter un système de réception et enregistrement TV sous linux. Mais je devais dégraisser au maximum l'OS pour que ça puisse tourner (les machines n'étaient pas puissante comme aujourd'hui). Mandrake ne se prétait pas à cet exercice, on m'a conseillé debian. Avec une installation de base minimale, j'ai du construire brique par brique mon système pour faire tourner myhtv avec le minimum de paquets. C'est très formateur.
Mandrake étant en plein flottement, j'ai donc basculé mon systeme principal sous linux (cette fois une install standard, toujours avec KDE). J'avais testé ubuntu, mais j'ai rapidement compris que ça voulait trop ressembler à windows que j'avais fuis.
A l'occasion d'un changement de matériel, mon magnétoscope est passé sous ARCH, encore plus performant que debian pour construire un système personnalisé. Puis finalement revenu sous debian lui aussi.
Toutes mes machines sont sous debian (ou raspberryOS), et j'en suis trés contant. C'est fiable, ça tourne sur du vieux matériel (le bon coin est mon principal fournisseur!), ma vie privée est relativement protégée, que du bonheur.
Je me suis mis à la musique, et je trouve aussi mon bonheur sous linux et debian. Tout nos concerts sont sonorisés et enregistrés, puis mixé sur des systèmes libres!
Pour ma part, j'ai démarré a l'école sur des terminaux reliés à un mainframe (les vieux trucs pas graphique ,avec du texte vert ), avec une imprimante à aiguilles au sous sol ....
Pendant un stage, on avait un MAC (le gros truc cubique, un machintosh je crois). C'était révolutionnaire pour moi !
Lorsque j'ai intégré la service R&D d'une grosse boite, j'ai retrouvé le terminal et le main frame, et on lançait les calculs la nuit en mode batch. Si tu avais fait une erreur, il fallait attendre la nuit suivante pour relancer le calcul.
Mes collègues trouvaient ça super moderne, ils venaient tout juste d'abandonner les cartes perforées ...
Ensuite un a reçu des consoles SUN sous unix. C'était graphique et en couleur!
A coté de ça , un collègue informaticien à reçu le premier ordinateur personnel du service, sous DOS ..... Par rapport à UNIX, ça faisait viellot.
Ce n'est que bien plus tard que j'ai acheté mon premier ordi, sosu windows. Internet venait d'arriver, je voulait regarder ça de plus pret (c'est interdit au boulot!)
J'ai bien évidement commencé à vouloir comprendre ce qu'il y avait sous le capot, et pourquoi j'avais parfois une multitude de fenêtres popup qui me pourrissaient mon écran. et aussi comment virer toutes ces barres d'outils qui occupaient la moitié de l'écran du navigateur.
J'ai découvert le site assiste.com (qui existe toujours), et découvert le monde souterrain des virus, spam, et autres malwares. Ainsi que toutes les informations qui étaient collectées sur moi. J'ai fait un gros ménage dans mon windows! Mais ça ne me convenanit que moyenement, toujours devoir faire attention, installe plusieurs logiciels de surveillance, un parefeu ....
J'ai donc remplacé tous les logiciels propriétaires par des logiciels libre s(firefox, thunderbird, mplayer, libre office, the gimp).
au final, il n'y avait plus que le système d'exploitation qui n'était pas libre.
J'ai installé une mandrake un peu par hazard en dual boot, car elle proposait le bureau KDE. Comme ça je n'était pas trop dépaysé avec l'environnement windows du bureau.
au bout de quelques mois, windows n'étant plus utilisé, il a dégagé.
J'avais commencé à me monter un système de réception et enregistrement TV sous linux. Mais je devais dégraisser au maximum l'OS pour que ça puisse tourner (les machines n'étaient pas puissante comme aujourd'hui). Mandrake ne se prétait pas à cet exercice, on m'a conseillé debian. Avec une installation de base minimale, j'ai du construire brique par brique mon système pour faire tourner myhtv avec le minimum de paquets. C'est très formateur.
Mandrake étant en plein flottement, j'ai donc basculé mon systeme principal sous linux (cette fois une install standard, toujours avec KDE). J'avais testé ubuntu, mais j'ai rapidement compris que ça voulait trop ressembler à windows que j'avais fuis.
A l'occasion d'un changement de matériel, mon magnétoscope est passé sous ARCH, encore plus performant que debian pour construire un système personnalisé. Puis finalement revenu sous debian lui aussi.
Toutes mes machines sont sous debian (ou raspberryOS), et j'en suis trés contant. C'est fiable, ça tourne sur du vieux matériel (le bon coin est mon principal fournisseur!), ma vie privée est relativement protégée, que du bonheur.
Je me suis mis à la musique, et je trouve aussi mon bonheur sous linux et debian. Tout nos concerts sont sonorisés et enregistrés, puis mixé sur des systèmes libres!
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Bonjour
Super vos parcours.
Moi j'ai commencé Linux au boulot car je n'avais pas les moyens d'acheter MATLAB et donc je bossais avec GNU Octave. Or a cette epoque Octave ne faisait le calcul parallèle que sous Linux. Donc j'ai commencé Ubuntu en double boot.
Puis j'ai voulu faire un peu de MAO chez moi et j'ai installé Librazik qui est un dérivé de Debian. Je me suis pris au jeu de Linux à domicile avec Mageia qui est une distribution très sympa survivance de Mandriva. J'ai essayé de participer à la QA team mais j'avais vraiment pas le niveau.
Depuis peu je réfléchis à l'alliance Trump / GAFAM. Je me dis que si on veut lutter contre cette dépendance encore plus toxique qu'avant on ne peut pas rester divisés en des centaines de distribution. Et j'essaie de proposer à mon boulot un essai pilote linux. Donc il me faut une distribution, qui comme l'était Mageia fonctionne sur des bases libres et démocratiques, mais que tout le monde connaît, et ou je puisse avoir une assistance forte. J'ai plusieurs collègues sysadmin qui bossent sous Debian
Je suis donc passée à Debian 12.
Voici mon histoire
Bonne journée
Super vos parcours.
Moi j'ai commencé Linux au boulot car je n'avais pas les moyens d'acheter MATLAB et donc je bossais avec GNU Octave. Or a cette epoque Octave ne faisait le calcul parallèle que sous Linux. Donc j'ai commencé Ubuntu en double boot.
Puis j'ai voulu faire un peu de MAO chez moi et j'ai installé Librazik qui est un dérivé de Debian. Je me suis pris au jeu de Linux à domicile avec Mageia qui est une distribution très sympa survivance de Mandriva. J'ai essayé de participer à la QA team mais j'avais vraiment pas le niveau.
Depuis peu je réfléchis à l'alliance Trump / GAFAM. Je me dis que si on veut lutter contre cette dépendance encore plus toxique qu'avant on ne peut pas rester divisés en des centaines de distribution. Et j'essaie de proposer à mon boulot un essai pilote linux. Donc il me faut une distribution, qui comme l'était Mageia fonctionne sur des bases libres et démocratiques, mais que tout le monde connaît, et ou je puisse avoir une assistance forte. J'ai plusieurs collègues sysadmin qui bossent sous Debian
Je suis donc passée à Debian 12.
Voici mon histoire
Bonne journée
- diesel
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Bonjour,
Mes débuts en informatique : 1976 ; sur une calculette programmable HP33E (49 pas de programme ; eh bien, on arrivait à faire pas mal de choses avec si peu).
1978 ; premiers "vrais" programmes sur IBM 1130. Programmation sur cartes perforées en fortran VI.
1980 ; achat d'un Apple IIe. Le début d'une collaboration de 10 ans. modifications de la bête, réalisations de cartes d'extension, utilisation de divers "OS" DOS de l'apple II, CPM, programmation dans divers langages (assembleur, basic, pascal).
1982 ; découverte au boulot d'une variante d'UNIX (TENIX sur machine Tektronix) et réalisation de calculateurs à base de processeurs Motorola et leur programmation en assembleur (programmes orientés temps réel).
1984 ; arrivée (au boulot) des premiers clones d'IBM PC sous MSDOS.
1986 ; je réussis au boulot à faire acheter un macintosh512 sous macos. Découverte de la fameuse "bombe", ce qui arrivait souvent.
1990 ; acquisition (en kit) de mon premier PC sous MSDOS (5, puis 6, puis 6.1, puis 6.2), puis windows 3.1. Puis les versions de windows se succèdent : 95, 98, millenium (le tout payé, pas de piratage). A cette époque, au boulot, ça repasse sous windows et ça restera comme ça jusqu'à la fin.
1998 ; je commence à m'intéresser à linux avec notamment l'achat du mag linux magazine dès le n° 1. J'essaye d'installer suse, red hat sans trop de succès, en particulier pas d'interface graphique pour cause de carte graphique un peu spéciale.
2000 ; installation d'une mandrake sur un nouveau PC plus standard en double boot avec windows.
2001 (à peu près) ; je laisse tomber windows pour ne plus y revenir. A la maison, il n'y a plus que des PC (plusieurs, pour mon épouse et mes filles) uniquement sous linux.
2002 - 2023 ; je passe de mandrake à mandriva puis de mandriva à ubuntu.
2023 - aujourd'hui ; rebuté par la politique de canonical au sujet des snaps, je me décide à tenter debian , réputée plus "austère". Là, surprise, c'est aussi convivial, les snaps en moins ! Déjà, sur ubuntu, j'avais quitté l'environnement gnome que j'aimais bien (gnome 2) avec l'arrivée de gnome 3. Aujourd'hui, je tourne sous debian bookworm cinnamon qui me convient très bien. Cela dit, ce n'est qu'une question d'aspect et d'organisation des accès à la machine puisque, quel que soit l'environnement de bureau choisi, on peut y faire tourner n'importe quelle application gnome ou kde.
Voilà ma petite histoire avec l'informatique.
Amicalement.
Jean-Marie
Mes débuts en informatique : 1976 ; sur une calculette programmable HP33E (49 pas de programme ; eh bien, on arrivait à faire pas mal de choses avec si peu).
1978 ; premiers "vrais" programmes sur IBM 1130. Programmation sur cartes perforées en fortran VI.
1980 ; achat d'un Apple IIe. Le début d'une collaboration de 10 ans. modifications de la bête, réalisations de cartes d'extension, utilisation de divers "OS" DOS de l'apple II, CPM, programmation dans divers langages (assembleur, basic, pascal).
1982 ; découverte au boulot d'une variante d'UNIX (TENIX sur machine Tektronix) et réalisation de calculateurs à base de processeurs Motorola et leur programmation en assembleur (programmes orientés temps réel).
1984 ; arrivée (au boulot) des premiers clones d'IBM PC sous MSDOS.
1986 ; je réussis au boulot à faire acheter un macintosh512 sous macos. Découverte de la fameuse "bombe", ce qui arrivait souvent.
1990 ; acquisition (en kit) de mon premier PC sous MSDOS (5, puis 6, puis 6.1, puis 6.2), puis windows 3.1. Puis les versions de windows se succèdent : 95, 98, millenium (le tout payé, pas de piratage). A cette époque, au boulot, ça repasse sous windows et ça restera comme ça jusqu'à la fin.

1998 ; je commence à m'intéresser à linux avec notamment l'achat du mag linux magazine dès le n° 1. J'essaye d'installer suse, red hat sans trop de succès, en particulier pas d'interface graphique pour cause de carte graphique un peu spéciale.
2000 ; installation d'une mandrake sur un nouveau PC plus standard en double boot avec windows.
2001 (à peu près) ; je laisse tomber windows pour ne plus y revenir. A la maison, il n'y a plus que des PC (plusieurs, pour mon épouse et mes filles) uniquement sous linux.
2002 - 2023 ; je passe de mandrake à mandriva puis de mandriva à ubuntu.
2023 - aujourd'hui ; rebuté par la politique de canonical au sujet des snaps, je me décide à tenter debian , réputée plus "austère". Là, surprise, c'est aussi convivial, les snaps en moins ! Déjà, sur ubuntu, j'avais quitté l'environnement gnome que j'aimais bien (gnome 2) avec l'arrivée de gnome 3. Aujourd'hui, je tourne sous debian bookworm cinnamon qui me convient très bien. Cela dit, ce n'est qu'une question d'aspect et d'organisation des accès à la machine puisque, quel que soit l'environnement de bureau choisi, on peut y faire tourner n'importe quelle application gnome ou kde.
Voilà ma petite histoire avec l'informatique.
Amicalement.
Jean-Marie
- franb
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Les grandes étapes:
1977: Achat TI58
1980: Achat Apple ][+, programmation 6502. Hacking divers dont déplombage disquette ++
1983: Découverte Unix sur unité centrale via terminal. Vente logiciel communication sur Apple][
1985: Arrivée Macintosh, passage sur PC car le code est ouvert (si!). Reprise activité déplombage disquette :-)
1986: Prof, usage classique sur PC Windows
1997: Découverte de debian Bo. Installation de deux salles sous Linux/Windows au lycée.
De 1997 -> 2022: gestion de serveurs multiples (OVH, lycée, perso), tous sous linux debian ou ubuntu pour ceux que je n'ai pas installé. Record uptime
2007 -> 2022: Création de ClefAgreg fondée sur une debian qui servira à partir de 2012 de support aux agrégations interne et externe de Maths
2014: Réinstallation du serveur installé en 1997 (jamais réinstallé jusque là mais remis à jour régulièrement), une déchirure, mais il fallait tout refaire
2016: Inscription sur root-me et reprise de mes activités de jeunesse :-)
2022: retraite
1977: Achat TI58
1980: Achat Apple ][+, programmation 6502. Hacking divers dont déplombage disquette ++
1983: Découverte Unix sur unité centrale via terminal. Vente logiciel communication sur Apple][
1985: Arrivée Macintosh, passage sur PC car le code est ouvert (si!). Reprise activité déplombage disquette :-)
1986: Prof, usage classique sur PC Windows
1997: Découverte de debian Bo. Installation de deux salles sous Linux/Windows au lycée.
De 1997 -> 2022: gestion de serveurs multiples (OVH, lycée, perso), tous sous linux debian ou ubuntu pour ceux que je n'ai pas installé. Record uptime
Code : Tout sélectionner
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2014: Réinstallation du serveur installé en 1997 (jamais réinstallé jusque là mais remis à jour régulièrement), une déchirure, mais il fallait tout refaire
2016: Inscription sur root-me et reprise de mes activités de jeunesse :-)
2022: retraite
- zargos
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Début en 1978 (j'ai 12 ans) en mettant en panne des ordinateurs sur un salon informatique (des Logabax). le commercial, un ami de mon père qui bossait sur des mainframes, a voulut savoir comment j'avais fait.
1980: achat d'un COMMODORE VIC 20. Création d'un programme d'utilisation de fichiers indexés et BDD. Interconnexion avec un télescope type Newton, la base de données et un calcul d'éphéméride permettant de pointer le télescope automatiquement. Je vais aussi connecter l’ordinateur au monde extérieur avec des cartes d’acquisition numérique bricolées.
Premier contact avec IBM PC et DOS
De 1980 à 1989: bricolages divers, du déplombage de disquettes, à la modification du disque de Pascal utilisé à la fac sur la gestion des erreurs (modification des messages) . Premier Windows aussi, pour les jeux et le traitement de texte. Construction d'un VEGA grâce à l'Ordinateur Individuel. Programmation assembleur en 6502 (pour mon VIC20), et sur Victor S1 et quelques autres processeurs.
1988: création d'un ampli numérique 64 voies avec des potes en utilisant orca.
1989: après mes études, boulot en bureau d’études dans le pétrole, la chimie, le nucléaire et la clim industrielle. CAO/DAO sur pas mal de plateforme, Autodesk, Versacad, et autres. Premiers contacts avec UNIX
1991-1992: premiers accès internet, notamment avec les BBS. Création de système de gestion techniques centralisées du bâtiment basé sur des cartes électroniques utilisant une sorte de BASIC, machines sous UNIX, OS/2 et Windows.
1993: tentative de création d'une société de fourniture d'accès internet en local (pas réussi faute de moyens financiers). Déploiement de réseau de PC internet dans divers établissement locaux. organisation de LAN Party
1995: Découverte mitigée de Slackware
1997: Entrée au CESI et découverte de Red-Hat
1998: Découverte de Mandrake qui restera avec Madriva ma distribution principale jusque vers la fin des années 2010. Je participerais à plusieurs tables ronde avec Mandrakesoft sur les version 9.x. Mes machines seront systématiquement en dual boot avec Windows.
1999: je rejoint Parinux jusque vers les années 2005 tout en participant à des actions avec l'APRIL. Création d'un Clan de jeux vidéos avec la mise en place d'un serveur de jeu Counter Strike et Day of Defeat sur une machine louée sous Linux. J'y installe Mandriva.
1999-aujourd'hui: passage de l'industrie à l'informatique professionnelle: intégration, développement, conseil, gouvernance de production, responsable informatique, chef de projet (réseau et sécurité principalement), architecte.
2000-2004: Premier ingénieur du groupe Steria à utiliser Linux en backbone de l’infrastructure dont je suis responsable informatique (DNS, DHCP, Serveur de Fichier), la messagerie est sur Solaris, le pare-feu orange est couplé à un pare-feu Linux et à un serveur Snort. C'est la première utilisation d'un IDS au sein du groupe; le tout sur Mandriva.
2001: Découverte de Debian mais pas très convaincu
2005-2008: Découverte de Ubuntu, pas convaincu non plus
2009: Abandon de Mandriva, passage à Debian pour des modèles serveurs, pour l'utilisation desktop Windows sera la cible principale. Ubuntu abandonné.
2011-2025: professionnellement axé sur la sécurité puis la gouvernance de production
2013: utilisation mixte (dual boot) systématique avec Debian et Windows 7 puis Windows 10 plus tard.
2014-2025: utilisation définitive de Debian en poste de travail, migration progressive des jeux Steam. Depuis 2022, utilisation de Debian comme poste de travail unique, Windows relégué aux quelques jeux ne fonctionnant pas (correctement) sous Debian ou pour des applications spécifiques (quasi inexistantes aujourd'hui).
J’utilise Debian pour de la musique (guitare électrique avec un Focusrite Scarlett 4i4, Orange Rocky Terror 15), le streaming, les jeux (Steam quasi exclusivement), ma box est sous OPNsense (un FreeBSD), quelques sites web dont une supervision (à usage interne uniquement), IDS (travaux en cours sur un passage en IPS) ; pas mal de recherche technique sur divers sujet (pas mal de bash, utilisationd e clefs de securité, simple-cdd, openVAS, etc.).
Depuis 1971 : lecteur assidu de bouquins (principalement fantasy, SF, histoire, dystopique, un peu de philo, etc.). je manque de place pour les ranger.
1980: achat d'un COMMODORE VIC 20. Création d'un programme d'utilisation de fichiers indexés et BDD. Interconnexion avec un télescope type Newton, la base de données et un calcul d'éphéméride permettant de pointer le télescope automatiquement. Je vais aussi connecter l’ordinateur au monde extérieur avec des cartes d’acquisition numérique bricolées.
Premier contact avec IBM PC et DOS
De 1980 à 1989: bricolages divers, du déplombage de disquettes, à la modification du disque de Pascal utilisé à la fac sur la gestion des erreurs (modification des messages) . Premier Windows aussi, pour les jeux et le traitement de texte. Construction d'un VEGA grâce à l'Ordinateur Individuel. Programmation assembleur en 6502 (pour mon VIC20), et sur Victor S1 et quelques autres processeurs.
1988: création d'un ampli numérique 64 voies avec des potes en utilisant orca.
1989: après mes études, boulot en bureau d’études dans le pétrole, la chimie, le nucléaire et la clim industrielle. CAO/DAO sur pas mal de plateforme, Autodesk, Versacad, et autres. Premiers contacts avec UNIX
1991-1992: premiers accès internet, notamment avec les BBS. Création de système de gestion techniques centralisées du bâtiment basé sur des cartes électroniques utilisant une sorte de BASIC, machines sous UNIX, OS/2 et Windows.
1993: tentative de création d'une société de fourniture d'accès internet en local (pas réussi faute de moyens financiers). Déploiement de réseau de PC internet dans divers établissement locaux. organisation de LAN Party
1995: Découverte mitigée de Slackware
1997: Entrée au CESI et découverte de Red-Hat
1998: Découverte de Mandrake qui restera avec Madriva ma distribution principale jusque vers la fin des années 2010. Je participerais à plusieurs tables ronde avec Mandrakesoft sur les version 9.x. Mes machines seront systématiquement en dual boot avec Windows.
1999: je rejoint Parinux jusque vers les années 2005 tout en participant à des actions avec l'APRIL. Création d'un Clan de jeux vidéos avec la mise en place d'un serveur de jeu Counter Strike et Day of Defeat sur une machine louée sous Linux. J'y installe Mandriva.
1999-aujourd'hui: passage de l'industrie à l'informatique professionnelle: intégration, développement, conseil, gouvernance de production, responsable informatique, chef de projet (réseau et sécurité principalement), architecte.
2000-2004: Premier ingénieur du groupe Steria à utiliser Linux en backbone de l’infrastructure dont je suis responsable informatique (DNS, DHCP, Serveur de Fichier), la messagerie est sur Solaris, le pare-feu orange est couplé à un pare-feu Linux et à un serveur Snort. C'est la première utilisation d'un IDS au sein du groupe; le tout sur Mandriva.
2001: Découverte de Debian mais pas très convaincu
2005-2008: Découverte de Ubuntu, pas convaincu non plus
2009: Abandon de Mandriva, passage à Debian pour des modèles serveurs, pour l'utilisation desktop Windows sera la cible principale. Ubuntu abandonné.
2011-2025: professionnellement axé sur la sécurité puis la gouvernance de production
2013: utilisation mixte (dual boot) systématique avec Debian et Windows 7 puis Windows 10 plus tard.
2014-2025: utilisation définitive de Debian en poste de travail, migration progressive des jeux Steam. Depuis 2022, utilisation de Debian comme poste de travail unique, Windows relégué aux quelques jeux ne fonctionnant pas (correctement) sous Debian ou pour des applications spécifiques (quasi inexistantes aujourd'hui).
J’utilise Debian pour de la musique (guitare électrique avec un Focusrite Scarlett 4i4, Orange Rocky Terror 15), le streaming, les jeux (Steam quasi exclusivement), ma box est sous OPNsense (un FreeBSD), quelques sites web dont une supervision (à usage interne uniquement), IDS (travaux en cours sur un passage en IPS) ; pas mal de recherche technique sur divers sujet (pas mal de bash, utilisationd e clefs de securité, simple-cdd, openVAS, etc.).
Depuis 1971 : lecteur assidu de bouquins (principalement fantasy, SF, histoire, dystopique, un peu de philo, etc.). je manque de place pour les ranger.
- Junichirô
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- Localisation : Baillif (Guadeloupe)
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Testé debian etch (encore en testing) sur un ibook . J'étais sur Mac jusqu'à cette époque. Suite à une engueulade dans le magasin officiel Apple ici panne 2 semaines après la fin de la garantie; panne répertoriée) j'ai dit au responsable que j'allais m'acheter un PC et le mettre sous Linux (Maintenant je dis Gnu Linux) . J'ai traversé le boulevard et me suis acheté un Dell Inspiron qui le soir tournait avec Debian. Depuis j'ai toujours Debian d'installé même si j'ai testé un tas de trucs et même participé à certains comme BLAG. Je suis sur ce Forum depuis 2008; enfin son ancêtre au début. On se marrait bien sur pause café. Je dois avoir le record des exclusions.
Tiens, j'ai fait une installation complète de Debian avant hier; mon thinkpad m'a lâché. Remplacé par un thinkpad reconditionné.
PS: Je suis né sous René Coty. Mais Elisabeth était déjà couronnée!
Tiens, j'ai fait une installation complète de Debian avant hier; mon thinkpad m'a lâché. Remplacé par un thinkpad reconditionné.
PS: Je suis né sous René Coty. Mais Elisabeth était déjà couronnée!
“Lorsque vous avez éliminé l’impossible, ce qui reste, si improbable soit-il, est nécessairement la vérité.”
- franb
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«On se marrait bien sur pause café. Je dois avoir le record des exclusions.
Tiens, j'ai fait une installation complète de Debian avant hier; mon thinkpad m'a lâché. Remplacé par un thinkpad reconditionné.»
Oui. Entre Ricardo, Debianhadic, Mattotop, etc dont moi qui relancions les débats avec des opinions allant de l'anarchisme à la droite républicaine en passant par l'arbre à palabres bien séduisant, ça a bcp ralé, bougé, mais ça vivait. Autre temps..
Tiens, j'ai fait une installation complète de Debian avant hier; mon thinkpad m'a lâché. Remplacé par un thinkpad reconditionné.»
Oui. Entre Ricardo, Debianhadic, Mattotop, etc dont moi qui relancions les débats avec des opinions allant de l'anarchisme à la droite républicaine en passant par l'arbre à palabres bien séduisant, ça a bcp ralé, bougé, mais ça vivait. Autre temps..
- franb
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Bon, après recheerche j'ai le regret d'annoncer le décès de Ricardo vers le 20 janvier 2024. Ses opinions politiques étaient ce qu'elles étaient et il avait un coté franchouillard mais il avait beaucoup de bons cotés et il a beaucoup donné au forum debian. Une page s'est tournée
- wetaskiwin
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Et moi, même si je ne viens plus aussi souvent.

Il était une fois…
Un jour, Windows a commencé à communiquer sur le remplaçant d'XP qui devait porter le nom de Longhorn. Je n'en ai retenu qu'un élément : la machine allait décider pour moi de ce que je pourrais faire… ou pas.
L'alternative des logiciels puis du système d'exploitation libres a fini par s'imposer mais le chemin a été long.
J'ai d'abord essayé Ubuntu, la première version en D (Dapper Drake) et j'ai tenu jusqu'à F. *
Une nouvelle version tous les 6 mois, non merci. Et puis, pourquoi utiliser un dérivé de Debian quand on peut avoir l'original ?
J'ai vu
Ça m'a plu
J'en pars plus
* Pour les années, je vous laisse chercher.
Et toute l'histoire s'est écrite en bonne partie grâce à ce forum.
On cède d’abord sur les mots et puis, peu à peu, aussi sur les choses (Sigmund Freud - Psychologie des foules et analyse du moi)
- wetaskiwin
- Membre très actif
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J'ai besoin d'outils qui fonctionnent alors j'en prends soin. Et Sid me facilite bien la vie.
Il y a quand même un monde entre ce que je réussis à bricoler pour moi et le niveau de certaines questions posées ici.

Il y a quand même un monde entre ce que je réussis à bricoler pour moi et le niveau de certaines questions posées ici.
On cède d’abord sur les mots et puis, peu à peu, aussi sur les choses (Sigmund Freud - Psychologie des foules et analyse du moi)